Seul sur scène, un artiste peut couper la respiration d’une assemblé et d’un mouvement de lèvre en faire sa marionnette. Mais pour électriser une salle, pour partager la fureur, il faut de la complicité, et des regards rageux, il faut être minimum deux. Et à ce jeu, The Kills prouve que le minimum existe bien et que la sensualité n’est pas une question d’orgie.
Ca se déchire, ça se réconcilie, ça se déteste et ça s’aime : The Kills en concert le 6 avril au Bataclan et on se rappelle la vidéo de Last Day of Magic.