Les années passent, les générations changent, les passions restent les mêmes. Peu importe le nom du groupe, le résultat reste le même, hier Radiohead et Portihead, aujourd’hui Sufjan Stevens. Avec sa bouille complice, ses premières chansons à fleur de peau et son grandiloquent « The Age of Adz », l’américain fantasque a toutes les cartes en main pour assoir peu à peu sa nouvelle réputation de star de l’indie.
On aura beau trouver ses dernières compositions pédantes et embarrassantes, on aura beau s’engluer dans ses instrumentations dégoulinantes, il semblerait que son premier concert en France depuis 5 ans le 9 Mai à l’Olympia soit une étape indispensable de l’arrivée du printemps.
(Bon j’avoue je vous en parle surtout parce qu’il y a DM Stith en première partie^^)