Malgré un accueil frileux de la part du publique et de la critique, je reste très attaché à « The Golden Archipelago » de Shearwater publié l’an passé. Il s’agit d’une folk épique, riche en arrangement et ambitieuse dans ses compositions. On peut la trouver grandiloquente et forcée, mais elle reste toujours puissante et tristement humaine de par le mélancolie qui s’en dégage. Comme avec le dernier Midlake, c’était un disque de vikings malheureux.
Du coup, je suis impatient d’écouter ce « Animal Joy » qui verra le jour en février 2012. Le premier extrait démontre le groupe ne compte pas faire du surplace ; ça ne peut être que bon signe.