C’est dans le cadre du Factory (au sein du Festival d’Ile de France) qu’a eu lieu la nuit EBM où se sont succédés Arnaud Rebotini et la légende Front 242. Que reste-t-il aujourd’hui de l’Electro Body Music ? Vibre-t-on encore dans ce miroir de notre corps ? Aime-t-on encore s’activer comme les machines d’une usine ? L’indus a déjà du mal à survivre alors l’EBM…
Le seul point positif à la raréfaction du genre est que les concerts, trop peu récurrents pour ne pas sevrer les aficionados, motivent toujours les foules. Et alors, l’électronique se fait à nouveau métallique, et l’on danse comme on pogotte.
La prestation de Front 242 a la Gaité Lyrique et le chaos qu’elle a généré ressemblaient à ça :