J’ai toujours zigzagué entre les albums de Destoyer (Dan Bejar de son vrai nom), les trouvant toujours trop gentils pour être honnête. Devant tant de jolies chansons, on se dit qu’il doit y avoir un truc, que ça doit être une beauté de façade et qu’on y trouvera rien derrière.
C’est Julien de Des Chibres et Des Lettres qui m’a poussé à rentrer dans Kaputt et me laisser aller à ce classicisme finalement plus apaisant qu’ennuyeux.
Sachant que l’homme est assez rare sur scène, il semblait important de vous conseiller ce concert de Destroyer le 27 juin à la Maroquinerie de Paris